Mot clé : 1972

  • Les jeux et l’informatique

    Période de fêtes… parlons jeux ! Qui a dit que l’informatique serait austère ? Faux ! Au-delà de son premier rôle d’abaque* sophistiqué, ce n’est pas un scoop, l’ordinateur permet aussi de s’amuser !
    Le jeu s’inscrit donc dans l’histoire de l’informatique. Certains disent même que le jeu a largement contribué à stimuler la créativité des informaticiens pour offrir aux machines notamment plus d’interactivité et de puissance.

    Histoire des premiers jeux vidéo

    Par définition, le jeu vidéo est un jeu utilisant un dispositif informatique. Si l’ordinateur n’est pas initialement conçu pour jouer, il peut, par sa modularité, se prêter au jeu vidéo. Les ordinateurs permettent de jouer encore aujourd’hui à des jeux dont les machines d’arcade ont disparu, comme Pong !

    Pong
    On doit le premier jeu vidéo de l’histoire à un physicien du Brookhaven National Laboratory, Willy Higinbotham. En 1958, il crée un jeu qui tourne sur une machine à base de lampes. En fait, ce jeu ne sera redéveloppé pour tourner sur Atari qu’en 1972, sous le nom de Pong. Il sera certainement le jeu le plus connu du grand public. C’est Pong qui donnera le coup d’envoi à l’industrie du jeu vidéo, industrie en pleine croissance depuis.

  • Histoire d’arobase

    Si les mots ont un sens… ils ont souvent aussi une histoire ! Quelle est celle du plus incontournable des symboles informatiques : l’@, autrement dit l’arobase, (at) pour les intimes !

    Avant de nous pencher sur l’histoire de l’arobase, qu’est-ce que ce curieux @ ? C’est un « logogramme » ! Ce qui veut dire ? Un logogramme est un graphème unique pour signifier un mot entier, et pas seulement une partie de ses phonèmes.

  • 1972, rapport d’activité du Président Lhermitte

    « Le CIGREF tient aujourd’hui sa seconde Assemblée Générale, et c’est pour moi l’occasion et le plaisir de dresser un premier bilan d’activité après dix-huit mois de travail…
    Tout d’abord, nous avons été l’objet de la part de nombreuses instances de demandes de coopération, et j’ai eu plus d’une fois le plaisir de voir évoquer le nom du CIGREF dans diverses publications. Ceci prouve à tout le moins que la notoriété de notre Club s’affirme favorablement. Toutefois, nous n’avons pas toujours répondu positivement aux propositions de collaboration, car nous manquons encore de temps et de moyens et il nous a fallu faire des choix…
    » Pierre Lhermitte