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Fidéliser les talents

« Attirer et fidéliser les meilleurs talents : La guerre des talents n’est pas devant nous : elle a déjà commencé ! »
L’entreprise 2020 à l’ère du numérique… Enjeux et Défis
  • L’Entreprise 2020 aura attiré les meilleurs talents…

    talentsL’entreprise 2020 aura su identifier les compétences et favorisé la mixité générationnelle

    Le collaborateur 2020 va venir challenger les habitudes, les organisations et les modes de management, dans un contexte où la relation entre les acteurs ira bien au-delà de la DSI et des métiers, en intégrant également les partenaires de l’entreprise.

    La guerre des talents n’est pas devant nous : elle a déjà commencé !

  • L’entreprise 2020 sera celle du « cerveau-d’œuvre » !

    Traverser la faille spatio-temporelle de l’ancien au nouveau monde grâce au cerveau-d’œuvre…

    Sorbonne-JP-Corniou« Entre l’ancien monde, qui se bat pour survivre, et le nouveau monde qui se bat pour émerger, nous sommes là, à la fois observateurs, acteurs engagés et désireux de faire naître de nouvelles logiques et de trouver de nouvelles clarifications… ». C’est ainsi que Jean-Pierre Corniou, Vice Président SIA Conseil, débute son intervention sur le thème « de la main d’œuvre au cerveau d’œuvre », proposée dans le cadre d’une journée de réflexion1 pour identifier « les talents pour l’entreprise numérique » par l’Université Paris 1 Panthéon Sorbonne.

    Le « cerveau-d’œuvre » est un concept né en 1995, sur lequel on travaille, au sein de l’Institut de l’Iconomie, entre économistes, consultants et autres acteurs de l’entreprise, pour construire une logique autour de la notion de migration de notre ère vers celle du cerveau-d’œuvre.

  • Pas d’informatique… pas de numérique !

    Compétences informatiques, les enjeux pour la société numérique

    Sorbonne-S-AbiteboulDans le cadre d’une journée de réflexion sur le thème « Quels talents pour l’entreprise numérique », proposée par l’Université Paris 1 Panthéon Sorbonne, Serge ABITEBOUL, Professeur ENS et Chercheur à l’INRIA, s’est exprimé sur l’importance et le rôle des compétences informatiques requises aujourd’hui.

    A qui, quand et comment doit-on enseigner l’informatique aujourd’hui ?

    Si l’on ne va pas former des informaticiens en CP, faut-il n’enseigner l’informatique qu’aux futurs ingénieurs, aux scientifiques, autrement dit aux Terminales S, en supposant que les autres n’en éprouveraient pas le besoin ?

    Le Professeur Abiteboul remarque en préambule que l’enseignement de l’informatique repose pour commencer sur une sorte de « conflit terminologique ». Le reste du monde enseigne « the computer sciences », une appellation peu pertinente, parce que l’informatique n’est pas vraiment « une science de l’ordinateur », mais plutôt une « science de l’information ».

  • Evaluation des processus d’idéation dans les projets de crowdsourcing

    Comment l’entreprise 2020 se confronte au  crowdsourcing

    Etude-ISD-CIGREFLe numérique a permis aux entreprises, aux organismes sans but lucratif et aux gouvernements d’engager de grands nombres d’individus à l’intérieur et au-delà de leur périmètre organisationnel pour l’exécution de tâches organisationnelles. Ce phénomène est bien connu sous des noms tels que « crowdsourcing », « collaboration de masse », « collaboration ouverte » ou « intelligence collective ».

    Cette étude, « Vers un modèle de maturité pour l’évaluation des processus d’idéation dans les projets de crowdsourcing », évoque ces nouvelles formes de collaboration qui ont le mérite de « puiser dans la sagesse d’un grand nombre de personnes pour un coût raisonnable, elle pose des défis considérables pour de nombreuses organisations en termes de mise en œuvre. Il leur faut passer de petits groupes, visant une collaboration ciblée et cadrée dans le temps, à un environnement dans lequel la collaboration de masse non structurée et étirée dans le temps devient la norme… ».

    CIMAM

  • L’Europe, moteur du développement des compétences numériques

    europe-competences-numeriquesQuels talents et compétences numériques pour l’Entreprise 2020 ?

    Depuis plusieurs années, la Commission européenne est convaincue que la compétitivité des entreprises en Europe repose pour une grande partie sur une utilisation efficace des technologies numériques, ce qui implique de disposer des compétences appropriées pour les mettre en œuvre. Or, on observe dans la plupart des pays européens, une difficulté à trouver une main d’œuvre qualifiée qui réponde correctement aux besoins en emplois dans le secteur du numérique, traduisant ainsi un écart croissant entre les besoins de compétences demandées par les entreprises et celles disponibles sur le marché européen du travail.

    Nous sommes déjà en pénurie de compétences numériques…
    et cela va s’aggraver !

    Plusieurs études1 européennes montrent qu’en 2012 environ 280 000 emplois liés au numérique étaient vacants en Europe. En 2015 c’est environ 500 000 emplois qui seront non satisfaits et les scenarios les plus optimistes donnent entre 700 000 et 900 000 emplois vacants en 2020. Et paradoxalement, on constate une baisse de candidats appropriés.

  • Génération Y et pratiques de management des projets SI

    Un nouvel « Essentiel » des projets de recherche de la première vague du Programme ISD

    Etude-ISD-CIGREF« L’utilisation massive des outils du Web 2.0 a conduit à une évolution des pratiques sociales. Logique participative, collaboration, réseaux sociaux… ont contribué à l’apparition de nouveaux modèles de sociabilité. Parallèlement, les normes et référentiels en matière de management de projets n’ont que faiblement intégré les concepts coopératifs et participatifs. Quand la collaboration et la coopération sont mentionnées, elles restent sous la responsabilité du chef de projet, qui prend en charge la coordination des échanges ».