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  • L’Entreprise 2020 aura repensé son organisation pour mieux innover…

    innoverLes usages numériques les plus innovants ne sont plus forcément suscités par les entreprises

    • Aller chercher l’innovation dans les usages « de la rue », s’ouvrir à l’intelligence collective de leur écosystème et ne plus réduire l’innovation à une population d’initiés sont autant de pratiques qui bouleversent les modèles organisationnels des entreprises.
    Le numérique favorise un fonctionnement matriciel et transversal dans l’entreprise, et la collaboration s’avère incontournable.
    Il faut réussir à mixer les cultures et les usages au cœur même des métiers pour insuffler une collaboration multidisciplinaire, génératrice d’innovation.

    L’entreprise 2020 devra valoriser les nouvelles pratiques, capitaliser sur les réseaux sociaux et favoriser l’innovation ouverte…

  • L’Entreprise 2020 aura de nombreux partenaires…

    partenariats La multiplication des espaces de création de valeur constitue une tendance lourde portée par le numérique

    Nos entreprises vont s’orienter vers des modèles de plus en plus liés et fonctionneront beaucoup plus comme un écosystème que de manière indépendante.
    Mondes économique et sociétal sont entrés dans l’ère de la « co-quelque chose » : une entreprise ne peut plus réussir seule sur son marché.
    Les acteurs des métiers traditionnels de l’informatique ne sont pas nécessairement ceux de l’écosystème actuel, ni, d’ailleurs, de celui de demain.

    Certains disparaîtront ou fusionneront, d’autres émergeront, beaucoup s’allieront…

  • L’Entreprise 2020 aura réinventé ses modèles d’affaires !

    modeles-affairesLe risque de disparaître, pour une entreprise, n’a jamais été aussi présent

    Les modèles d’affaires changent avec le numérique : le client/consommateur devient un acteur central…
    La transformation numérique utilise un nouveau carburant qui va devenir une ressource naturelle : les données, essence dont a besoin l’entreprise pour fonctionner…

  • L’entreprise 2020 sera celle du « cerveau-d’œuvre » !

    Traverser la faille spatio-temporelle de l’ancien au nouveau monde grâce au cerveau-d’œuvre…

    Sorbonne-JP-Corniou« Entre l’ancien monde, qui se bat pour survivre, et le nouveau monde qui se bat pour émerger, nous sommes là, à la fois observateurs, acteurs engagés et désireux de faire naître de nouvelles logiques et de trouver de nouvelles clarifications… ». C’est ainsi que Jean-Pierre Corniou, Vice Président SIA Conseil, débute son intervention sur le thème « de la main d’œuvre au cerveau d’œuvre », proposée dans le cadre d’une journée de réflexion1 pour identifier « les talents pour l’entreprise numérique » par l’Université Paris 1 Panthéon Sorbonne.

    Le « cerveau-d’œuvre » est un concept né en 1995, sur lequel on travaille, au sein de l’Institut de l’Iconomie, entre économistes, consultants et autres acteurs de l’entreprise, pour construire une logique autour de la notion de migration de notre ère vers celle du cerveau-d’œuvre.

  • E-leadership, enjeux pour la société numérique

    Sorbonne-JFPepinL’Université Paris 1 Panthéon Sorbonne organisait une journée de réflexion pour identifier « les talents pour l’entreprise numérique ». Dans ce contexte, Jean-François PEPIN, Délégué Général du CIGREF, a évoqué la place prise par l’e-leadership, compétence indispensable pour la compétitivité des entreprises au sein de la société numérique.

    L’histoire des technologies ne serait-elle qu’un perpétuel recommencement ?

    Il a commencé par rappeler que le CIGREF était né d’une vision prospective détaillée dans un ouvrage publié en 1968 sous le titre « le Pari Informatique ». Ouvrage qui proposait « les conséquences prévisibles du développement de l’automatisation de la gestion des entreprises ». Déjà à cette époque se pose des questions à propos du phénomène de l’informatisation, comme une prise de conscience sur l’homme et sur l’organisation des effets techniques… ou encore celle de l’enjeu économique pour les entreprises dont « la productivité  et leur capacité concurrentielle dépendront très largement de la façon dont elles auront su assimiler ces méthodes et préparer l’ère nouvelle de l’automatisation ainsi que de la rapidité avec laquelle elles auront mis en œuvre ces techniques ». Autre question d’importance, celle de la formation : « la réussite à terme du pari de l’informatique, concerne la formation des jeunes à tous les niveaux; tous les enseignements, depuis le secondaire jusqu’aux enseignements supérieurs, sont directement concernés par cette évolution et par la nécessité d’y apporter de très profondes inflexions ».

    Si 45 ans plus loin ces questions conservent leur pertinence, quelques changements notables concernent le contexte : le monde est connecté chaque jour davantage, notre mode de vie est de plus en plus collaboratif, sans parler du foisonnement exponentiel des données, de la transformation des accès au savoir : les recherches effectuées sur Google dépassent quotidiennement le milliard. Autre changement, une entrée dans la civilisation du cyber-risque.

  • Pas d’informatique… pas de numérique !

    Compétences informatiques, les enjeux pour la société numérique

    Sorbonne-S-AbiteboulDans le cadre d’une journée de réflexion sur le thème « Quels talents pour l’entreprise numérique », proposée par l’Université Paris 1 Panthéon Sorbonne, Serge ABITEBOUL, Professeur ENS et Chercheur à l’INRIA, s’est exprimé sur l’importance et le rôle des compétences informatiques requises aujourd’hui.

    A qui, quand et comment doit-on enseigner l’informatique aujourd’hui ?

    Si l’on ne va pas former des informaticiens en CP, faut-il n’enseigner l’informatique qu’aux futurs ingénieurs, aux scientifiques, autrement dit aux Terminales S, en supposant que les autres n’en éprouveraient pas le besoin ?

    Le Professeur Abiteboul remarque en préambule que l’enseignement de l’informatique repose pour commencer sur une sorte de « conflit terminologique ». Le reste du monde enseigne « the computer sciences », une appellation peu pertinente, parce que l’informatique n’est pas vraiment « une science de l’ordinateur », mais plutôt une « science de l’information ».